Evasion fiscale en Suisse

Pourquoi la Suisse reste un paradis pour l'argent sale

Evasion fiscale en Suisse: Quand la justice suisse séquestre 150 millions d'euros, 15 milliards passent sous les radars. L'ancien patron de la lutte contre le blanchiment tire la sonnette d'alarme.
Evasion fiscale en Suisse

Ces derniers mois, le palais de justice de Genève était plutôt à l'honneur. Il révélait que Juan Carlos, l'ancien roi d'Espagne, avait planqué 100 millions de dollars dans la cité de Calvin, et plus récemment qu'un homme d'affaires angolais s'était fait séquestrer près d'un milliard de dollars. C'est oublier que, dans le reste de la Confédération, à Berne, Lugano ou Zurich, la justice se montre nettement moins pugnace. Tout cela, c'est « peanuts », révèle Daniel Thelesklaf, l'ancien patron de la lutte contre le blanchiment, qui a démissionné avec fracas du Bureau suisse de communication en matière de blanchiment (MROS), moins d'un an après son entrée en fonction.


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